Le souci à RADIOM, c'est d'essayer de proposer toujours ce qu'il y a de meilleur. Ou tout du moins ce que l'on croit être le meilleur. Il y a du travail et de la réflexion derrière, mais aussi et surtout du temps et un peu d'argent dépensés à tenter l'impossible.

La radio, c'est un truc assez merveilleux. Entendre pour la première fois sur un autoradio un morceau de la playlist de la radio que l'on vient de créer, c'est un sentiment assez dingue, même si ça peut paraître complètement bête. C'est comme un artiste qui passe pour la première fois son disque reçu du fabricant, encore sous emballage plastique. Il y a plein d'exemples. Je suis prêt à parier que l'architecte qui a dessiné un bateau a une larmiche mêlée d'excitation quand il le voit flotter pour la première fois en sortie d'un chantier naval.

RADIOM, c'est un peu pareil, c'est comme un bateau. À la différence près qu'il revient régulièrement en cale sèche pour vérifier, réparer, reconstruire, ajouter, modifier ou retirer des trucs : ce bain à bulles ? Indispensable, rajoutons-le ! Cette salle de muscu ? Ha ha ! Mais pour quoi faire ? La propulsion nucléaire présente des fuites ? Colmatons-la au gaffer tape !

Tout ça prend un temps fou, et on en manque cruellement, ce n'est pas nouveau. On s'excuse par avance de tous les mails et les coups de fil auxquels on répond souvent en retard. Il faut gérer les affaires courantes, et elles s'accumulent à une vitesse supraluminique.

« Ça va couper, chérie... »

Pour pouvoir continuer nos pérégrination radiophoniques, il nous manque un élément primordial : la connaissance. Inutile de maîtriser le formalisme Lagrangien ou le comportement de la Suite de Syracuse.
Non, la connaissance manquante, c'est celle de ses auditeurs, et de ses comportements. Énoncé comme ça, c'est carrément flippant, un peu comme si on allait demander à nos auditeurs de nous informer sur toutes leurs habitudes d'achat ou de visites sur le Net. Pour ça pas besoin : certains récupèrent déjà ces infos, mais pas de panique : pas RADIOM ! Never ! Même lorsqu'on pousse le délire un peu loin, ça reste léger (relire Je programme, tu programmes, nous programmons).

Cela n'a échappé à personne : il se passe de longues périodes sans que RADIOM n'émette en FM. L'explication courte tient dans l'existence d'autorisations spécifiques qui ne peuvent pas excéder une certaine durée. L'explication longue est à retirer au guichet 32B, le mardi matin de 8h27 à 8h29 au studiom de RADIOM.

Ces fameuses autorisations d'émettre en FM constituent une part de travail non négligeable pour RADIOM. Nous considérons cela comme – très – important de pouvoir vous proposer l'écoute de la station via les ondes hertziennes, mais peut-être nous fourvoyons-nous complètement ? Un seul moyen de le savoir ou presque : vous poser la question !

Tout d'abord, quelles sont vos habitudes actuelles ?



Évidemment, on n'en reste pas là. Car tout le monde sait bien qu'aucune des méthodes pré-citées n'est parfaite, et que par usage ou nécessité, on choisit souvent une des trois sans qu'elle soit pour autant l'élue de son cœur. Voilà pourquoi on demande aussi quels seraient les usages dans un monde idéal (ou presque).

RADIOM, radio associative

Comme toujours, nous rappelons les éléments essentiels du fonctionnement de RADIOM. Bêtement répétitive, la litanie que l'on vous sert a un étrange goût de déjà-vu. Et pourtant c'est bien le quotidien de RADIOM : une association a besoin de moyens financiers et humains. Et comme à chaque fois, c'est l'occasion de rappeler que votre participation est la bienvenue, pour l'un, l'autre, ou les deux !

Le meilleur moyen de commencer, c'est d'adhérer à l'association (c'est tellement bien expliqué ici : Viens, bascule du côté obscur !) ! Et ici...


Adhérer maintenant !

Ensuite, tout va très vite, les événements s'enchaînent à un rythme fou. Un seul moyen de s'en rendre compte.

Lobbying hertzien

Au-delà des réponses apportées au questionnaire, il y a aussi peut-être quelque chose que vous pourriez faire pour nous. Quelque chose de facile, mais qui nous serait d'une grande aide.
Nous avons besoin... de soutien ! Un soutien moral, qui nous permettra notamment de faire valoir notre existence depuis bientôt dix ans dans le paysage radiophonique castrais. C'est cette mise en valeur qui, nous l'espérons, nous donnera aussi la force et les arguments pour briguer de nouvelles candidatures pour obtenir ce sésame dont nous rêvons depuis tant d'années : une autorisation "permanente" d'émettre en FM !

Comment nous aider ? C'est très simple : témoignez, par tous les moyens mis à votre disposition sur la page contact de votre attachement à RADIOM, et de votre souhait de pouvoir nous écouter toujours plus loin en FM. Un petit mot d'encouragement suffit amplement ! C'est juste qu'on en veut plein !

Prêts ?

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Plus d'infos :
- le formalisme Lagrangien (vous n'avez rien compris ? Moi non plus)
- la Suite de Syracuse (pas mieux)
- les procédures d'autorisation d'émettre en FM en France